- La rivière de la ville :
- La Vesle
- La Veste
- La Vestale
- Y’a pas de cours d’eau !
- Fastoche, quel est le jour de la bataille ?
- Le 5 janvier
- Le 9 février
- Le 13 mars
- Le 17 avril
- Trois jours plus tôt, Napoléon a été battu par une armée russo-prussienne trois fois plus grosse que la sienne à :
- Lille
- Lens
- Laon
- Faux ! L’Empereur n’a jamais été battu de toute sa vie ! Même à Waterloo, c’est pas lui qui a été battu, ce sont les autres !
- Il a cette fois encore des Russes et des Prussiens en face de lui. Ils sont commandés par un émigré français qui a foutu le camp du pays en 1791 et a trouvé des épaulettes chez les Russes :
- Bernadotte
- Barbanègre
- Saint-Priest
- Saint-Sulpice
- La veille, il est entré dans Reims en bousculant les quelques Français :
- Du maréchal Jourdan
- Du général Corbineau
- Du colonel Sénarmont
- Faux ! Les bourgeois s’étaient empressés d’ouvrir les portes de la ville pour éviter le saccage de leurs belles petites propriétés !
- Les effectifs en ligne ?
- Probablement quinze fois plus d’ennemis que de Français !
- Environ 10.000 hommes pour les Français et 15.000 pour leurs adversaires !
- Environ 40.000 hommes pour chaque camp et des troupes de réserve qui ne donneront pas !
- Les Français sont trente fois plus nombreux que les Russo-Prussiens ! C’est normal, ils ont battu le rappel de tous les paysans !
- Napoléon se pointe, arrivant dare-dare de Soissons. Dès le début, combat de cavalerie contre des bataillons prussiens au :
- Port de Silure
- Pont de Sillery
- Motel de Garaje
- Moulin de Grain
- Une unité russe fait preuve d’une belle ténacité face aux charges de la cavalerie française :
- La division Ursidé
- Le bataillon de Riazan
- La compagnie de Glasnost
- Le régiment de Preobajenski
- Napoléon entre victorieusement dans la ville, précédé par un groupe de la Garde Impériale dont il a pu apprécier la valeur au combat :
- Le 2ème régiment de cuirassiers
- Le 3ème régiment de gardes d’honneur
- La 4ème batterie d’artillerie à pied sans souliers
- La 5ème colonne d’espions cachés sous des gilets jaunâtres
- Cette journée coûte environ 4.000 tués pour les deux camps. Quel est le sort de l’émigré qui commandait ces ennemis de la France ?
- Capturé et pendu dans la cathédrale
- Blessé, jambe coupée et mort dans la foulée
- Suicidé de honte de se battre contre sa propre patrie
- Disparu dans la mêlée et retrouvé plus tard dans un couvent
Petit rappel sur cette bataille des temps jadis.
- Gemaakt 07/01/2024
- Gepubliceerd 07/01/2024
- Gewijzigd 07/01/2024
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